Je suis allée visiter le
musée de la toile de Jouy, château de l'Eglantine, RER C arrêt Petit Jouy-Les loges. Joli musée, simple et didactique. A l'entrée le parterre de fleurs en bandes horizontales (comme les toiles de Jouy colorées hier étendues dans les prés) crée par le plasticien Jean-Max Albert est ravissant.
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Musée de la toile de Jouy - château de l'Eglantine |
Premier étage : la visite commence en haut de l'escalier de droite.
Jouy 1760 - fin XVIIIe siècle Les motifs floraux ont constitué la plus importante production de la manufacture de Jouy. Ces fleurs s'inspirent des indiennes et des perses parfois des chinoiseries.
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Caraco 1789-1793 - coton imprimé à la planche de bois - branches fleuries d'inspiration orientale |
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Planches d'échantillon vers 1795 |
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Lettre de commande 1790 - 1803 Echantillons de coton collés sur les commandes par les clients |
Technique : à la planche de bois, plaque ou rouleau, l'impression se fait avec des mordants, sels de fer et alumine, pour créer des toiles bon teint aux couleurs résistant au lavage et à la lumière.
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Rouleaux de cuivre |
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Blocs d'impression bois-métal |
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Détail : bloc d'impression bois-métal |
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Teintures : baies de nerprun, cochenilles du Pérou, Fleurs de Catharne, racines d'orcanette, graines de rocou, extrait de cachou, pigments de garance.
Les couleurs sont appliquées à la planche de bois ou au pinceau (indigo) et jaune (gaude, quercitron). Pour le vert, superposition de bleu et de jaune ; après 1806, le vert nécessite une seule application.
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Chinoiseries et autre détails
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Chinois à la brouette - livre de dessins de Fraisse pour le duc de Bourbon |
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Chinois à la brouette - XVIIIe - imprimé à la planche de bois et picots de laiton vers 1760 |
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Fragment d'une robe de Marie-Antoinette vers 1780 |
J'ai fait quelques emplettes dans la boutique mais attention les prix sont assez élevés. Ensuite, je me suis rapidement baladée dans le joli jardin.
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